Des mouvements de protestation anti-capitaliste ont émergé à de nombreuses occasions (par ex. le mouvement Occupy aux États-Unis, Nuit Debout en France…), avec l’objectif de résister aux évolutions néo-libérales de la société. Certains se sont révélés efficaces pour bloquer ou retarder des politiques publiques refusées par la population, et qui avaient été inspirées par un programme politique par trop « business-friendly ».
La Coopérative CosmoPolitique ne suit pas cette voie de la « résistance », et prend l’option opposée de proposer des alternatives positives, pour les raisons suivantes :
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elle fait tomber l’argument classique des conservateurs (« moi ou le chaos » ou « il n’y a pas d’alternative » – "there is no alternative – TINA", cher à Margaret Thatcher)
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la meilleure manière de détruire quelque chose est de le remplacer
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les défis mondiaux du 21e siècle demandent à engager des changements massifs et rapides dans nos sociétés, dans une action offensive et déterminée, et ne peuvent pas se payer le luxe de la présence d’une force conservatrice supplémentaire qui appuie à toute force sur le frein.